
« Aimez-vous jeunes gens soyez la mémoire
Les amours de Loris – 1- L’art d’aimer
de votre vieillesse les jours ombreux
ne seront pas stériles tant que souples
vous rêverez aimez-vous ni l’eau
ne reviendra qui a coulé ni l’être
parfait qui vous espère vous glisserez
d’un cours rapide au tombeau… »
Poèmes d’Ornel Colomb
Photographies de Sophie Patry
Remerciements
Le livre au format papier n’aurait jamais pu voir le jour sans la participation généreuse des contributeurs et mécènes qui ont participé à la souscription lancée en octobre 2024. Qu’ils en soient ici chaleureusement remerciés !
Marie Alloy
Jean-Louis Anton
François Bernard
Eric Bouchety
Eric Bougreau
Bernard Brisé
Murièle Camac
Claude Chambard
Joelle Chartier
Judith Chavanne
Marie-Josée Christien
Ornel Colomb
Danièle Corre
Christian De Pontcharra
Jean Claude Desré
Sylvie Fabre
Michèle Finck
Marie-Christine Galy-Aché
Mazière Gilles
Catherine Izard
Mathieu Laforest-Fournier
Dominique Lax
Béatrice Marchal
Boris Marcheteau
Jean-Claude Martin
Max Hautemulle
Caroline Meunier
Denis Montebello
Sophie Patry
Michel Pleau
Alain Pons
François Robert
Richard Roos-Weil
Pierre Rosin
Olivier Rougerie
Christine Saint-Geours
Christophe Sanchez
Claudine Terny
Annie Wellens
A lire sur Calaméo
Ce qui reste fête ses 10 ans, souscrire à la version papier
La revue Ce qui reste fête ses 10 ans. Fondée en 2014 par Vincent Motard-Avargues, puis reprise quelques temps plus tard par Sébastien de Cornuaud-Marcheteau et Cécile A. Holdban, la revue a publié les créations de plus de 300 auteurs et artistes. Si, au départ, la revue publiait un poème par jour d’un auteur contemporain, le format change à partir de décembre 2015 : les poèmes et textes sont accompagnés d’œuvres visuelles et publiés, à un rythme moins soutenu, sous forme de livres virtuels sur Calaméo.
Le choix de publier des livres virtuels plutôt qu’en papier présente deux avantages : celui d’être peu coûteux (juste les charges du site internet) et celui d’être totalement libre dans la production car les contraintes liées à la matérialité du livre s’estompent : aucune restriction de format, de nombre de pages…
Mais le virtuel a aussi ses limites : sitôt lu, le livre retourne dans l’immatérialité du magma numérique. Rien qui ne fasse ni trace ni demeure.
C’est pourquoi Ce qui reste veut tenter le pari de ses lecteurs : proposer, de temps en temps, sans caractère systématique, et selon son envie, un livre qui reste, un livre devenu permanent au désir des lecteurs.
Evidemment l’écueil le plus important d’une telle entreprise est avant tout économique. Les éditeurs, qui ont largement contribué financièrement à maintenir pendant dix ans la revue, n’ont pas pour objectif de prendre le risque de s’endetter. C’est pourquoi le modèle de financement participatif leur a paru le plus cohérent pour la revue.
N’imprimer que ce qui est nécessaire, sans gestion de stock, sans excès. Être au plus proche du désir du lecteur de poésie dans un temps long qui qui résiste à l’impermanence de notre siècle.
La gestion administrative et financière est confiée en toute transparence à une structure associative : Echeveaux éditions, administrée par les éditeurs, Cécile A. Holdban et Sébastien de Cornuaud-Marcheteau, qui ne perçoivent aucune rétribution, ni contrepartie.
Les auteurs et artistes sollicités recevront un exemplaire du livre auquel ils auront contribué.
La souscription est fermée depuis le 30 octobre 2024 et les livres ont été livrés !
Il reste quelques exemplaires que vous pouvez acquérir sur notre page librairie.